Un des livre dont on parle pour cette "fameuse" rentrée littéraire. Et on fait bien d'en parler, c'est un émerveillement.
On dit que les livres qui semblent être écrit facilement, d'un seul jet, sont les plus difficiles à écrire.
Si, comme il semblerait, Mr Claudel à souffert en écrivant son roman, ce n'est pas en vain. Lu du premier au dernier mot, sans presque respirer, ou plutôt comme dans un souffle, ce livre est une merveille, un cadeau.
Merci.
En voici un petit résumé:
" C'est un vieil homme debout à l'arrière d'un bateau. Il serre dans ses bras une valise légère et un nouveau-né, plus léger encore que la valise. Le vieil homme se nomme Monsieur Linh. Il est seul désormais à savoir qu'il s'appelle ainsi. Debout à la poupe du bateau, il voit s'éloigner son pays, celui de ses ancêtres et de ses morts, tandis que dans ses bras l'enfant dort. Le pays s'éloigne, devient infiniment petit, et Monsieur Linh le regarde disparaître à l'horizon, pendant des heures, malgré le vent qui souffle et le chahute comme une marionnette. "
Je vous en souhaite bonne lecture.